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 " The end justifies the means " - Scott Potter

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Lena Bennett
Lena Bennett
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MessageSujet: " The end justifies the means " - Scott Potter   " The end justifies the means " - Scott Potter EmptyMar 20 Déc - 17:44

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Adrian Potter & Lena Bennett
    Adrian Potter avait des doutes.
    J’avais pourtant fait tout les efforts possibles pour paraître toujours plus innocente et humaine, et ce dès mon arrivée dans l’Ogranisation des Orions, mais il était le seul qui restait sur ses gardes. C’était d’ailleurs amusant, de voir tout ces fervents défenseurs de la cause humaine, et plus encore, ces chasseurs de créatures de la nuit, coexister avec l’un de leurs ennemis. Ils étaient pourtant tous plein de haine envers les vampires, plusieurs se ventaient d’être capable de sentir la présence de l’un d’eux, d’autre de les reconnaître rien qu’aux traits de leurs visages… Mais aucun n’avait eu de soupçons à mon sujet, et je jouais mon rôle à la perfection. Pourtant, un seul Orion ne croyait pas à cette supercherie. Il n’avait aucune preuve, juste un simple pressentiment, une haine bouillonnante en ma présence sans pouvoir s’expliquer pourquoi, mais je sentais qu’il était à l’affut de la moindre de mes bavures, s’attendant à chacun de mes gestes à entrevoir trop de rapidité, trop de force pour une jeune fille. En sa présence, je redoublais bien entendu d’efforts, feignant des courbatures et autres blessures après une séance à la salle de sport, ou bien encore en laissant s’échapper une de mes cibles lors d’une mission afin de l’échouer… Mais rien n’y faisait. Il gardait toujours ce regard froid en ma présence, et cet air fermé dès que j’engageais l’air de rien la conversation. Il fallait que je change son opinion, et vite, avant qu’il ne mette qui que ce soit au courant et n’éveille les soupçons de mes autres collègues. Il me fallait une ruse, un stratagème imparable pour calmer sa haine, et créer un lien entre son humanité et ce qu’il restait de la mienne. S’inventer des faiblesses n’était pas une tâche des plus simples, mais comme le dit ce vieil adage, « the end justifies the means ».
    Ce soir là, c’était au tour d’Adrian et moi d’être de garde en ville : chaque nuit, des équipes d’Orions étaient choisis pour veiller sur les habitants d’Everstown. Il ne s’agissait pas de chasse, puisqu’il n’y avait pas de cible particulière, et ces rondes étaient généralement des plus ennuyeuses : les vampires, à moins d’être des nouveaux venus en ville, n’était pas assez stupides pour s’aventurer de nuit dans les quartiers protégés, ce qui donnait l’impression aux Orions de maintenir l’ordre dans la petite ville, sans se douter de ce qui se tramait sans cesse derrière leurs dos. Cette nuit de décembre était des plus tranquilles, une atmosphère de fête régnait dans les rues du centre ville, et même les ruelles les plus sombres étaient maintenant éclairées de décorations de Noël, de guirlandes en forme d’étoiles et autres banderoles. Cette ambiance chaleureuse, rappelant la sécurité et l’importance du cocon familiale, le saisissait à la gorge et me donnait envie de vomir. Je n’avais plus de famille et, hormis ma sœur, cela ne représentait pas une grosse perte… Cette période de fin d’année avait le don de faire ressurgir d’anciens souvenirs que ma mémoire avait tant tenté d’éteindre, je revoyais les images de ces soirées de Noël, gâchées par une énième dispute, encore un drame familial de plus…
    Chassant ces flashs oppressant de mon esprit, je me concentrai sur mon plan, finement élaboré. Pour atténuer ce mauvais pressentiment qu’avait mon cher collègue, il fallait que je lui paraisse fragile, vulnérable, et, en aucun cas, menaçante. C’est pourquoi j’avais demandé l’aide d’un de mes congénères – les vrais, cette fois – qui m’avait assuré de se trouver à l’endroit attendu, exactement à cette heure-ci.

  • C'est plutôt calme, ce soir ! Lançai-je à Adrian, qui se tenait à plusieurs mètres afin d’avoir une vue sur les deux grandes routes menant à l’extérieur de la ville, tandis que je surveillai l’orée de la forêt, toute proche. Peut-être qu’on n’aura pas tant de boulot que ça, en fin de compte.

    Dans quelques minutes, ce cher Orion des plus zélés allait avoir la preuve de ma vulnérabilité humaine, et il n’y aura plus de place dans son esprit pour un seul moment de doute. Esquissant un sourire triomphant, je levai les yeux vers la lune, entourée d’un halot orangé, un peu rouge même, éclairant faiblement la cime des plus grands arbres de la forêt. C’est l’atmosphère parfaite pour une attaque pas si imprévue que ça, non ?
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" The end justifies the means " - Scott Potter Vide
MessageSujet: Re: " The end justifies the means " - Scott Potter   " The end justifies the means " - Scott Potter EmptyMer 21 Déc - 10:47

Il y a des gens avec qui le feeling ne passe simplement pas. Parfois, on ne sait pas expliquer pourquoi, c'est simplement comme ça. D'autres fois par contre, on a un pressentiment qui précise un peu cette position, ce qui est plus commode. Parce qu'il faut l'avouer : il n'y a rien de plus inconfortable que de ne pas apprécier quelqu'un sans raison valable.
Au sein d'Orion, Scott Adrian se sentait comme en famille. Une famille tordue parfois et très étrange, mais une famille tout de même. Celle où son oncle l'avait introduit il y a des années de cela et qui l'avait alors accepté pour ce qu'il était vraiment, tout simplement. A l'école, il devait sans cesse lutter contre les mauvais regards, ou les a priori. Après tout, ses parents l'avaient abandonnés, cela voulait forcément dire que quelque chose clochait chez lui. Et puis, il vivait avec un oncle, si ce n'était pas étrange...
De tout cela, Scott Adrian n'avait jamais souffert à Orion. Hormis un début de schizophrénie, du fait que tous l'appelaient Adrian comme son oncle quand le reste du monde le connaissait sous le nom de Scott, tout était au mieux dans le meilleur des mondes. Jusqu'à l'arrivée de Lena. Oh, il n'avait rien de précis à reprocher à la jeuen femme et à dire vrai de prime abord il n'avait rien ressenti de particulier. C'était au fur et à mesure que son instinct c'était dressé entre eux. Après tout, il ne l'avait jamais trompé.
Ce qui perturbait particulièrement Adrian c'est qu'aucun autre membre d'Orion ne semblait se méfier d'elle, ce qui le faisait douter de sa position au point qu'il l'avait tu. Ce qu'elle détestait par dessus tout c'était colporté des rumeurs sans fondements, il en avait lui-même bien trop souffert à ses dépends. Aussi, il gardait son instinct pour lui, mais il la surveillait l'air de rien. Il évitait également de se retrouver en patrouille avec elle, parce qu'il n'avait pas confiance. Si son instinct lui disait vrai, elle pouvait tout aussi bien le poignarder dans le dos, ce qui n'est pas une position enviable quand on chasse déjà les vampires.
Pourtant, il arrive des moments où on ne peut éviter l'inévitable. C'est pourquoi ce soir là il se retrouvait en patrouille avec elle. Il s'efforçait d'apparaître normal en sa présence, mais quelque chose devait le trahir malgrè lui parce qu'elle redoublait de gentillesse avec lui, au point de paraître trop aimable et serviable parfois. Mais cela ne constituait pas une preuve. Elle pouvait simplement être de bonne foi et redoubler d'efforts.
Une preuve de quoi d'ailleurs, il n'en était pas certain d'ailleurs...

_ C'est plutôt calme, ce soir ! Peut-être qu’on n’aura pas tant de boulot que ça, en fin de compte.

Il eut un petit sourire et se tourna un moment vers elle pour lui répondre.

_ En général, c'est quand on dit cela que les ennuis arrivent, lança-t-il sans agressivité aucune, simplement pour faire la conversation. Ce porte malheur en quelque sortes, mon oncle t'aurait rouspetté après pour moins que ça, mais il faut avouer qu'il était vieille école.

Penser à son oncle pendant les fêtes étaient une sensation étrange. Il aurait voulu pouvoir le voir, le convaincre de venir le visiter ici, mais il n'y avait aucun moyen de faire faire à Mathias ce qu'il n'avait pas choisi de faire.

_ En tous les cas, on est chanceux pour ce qui est des températures cette année. L'an dernier à la même période, il fallait patrouiller sous quarante centimètres de neige, c'était nettement moins agréable...

Les banalités climatiques à présent ! Vraiment très spirituel... Il aurait pu tout aussi bien parler de cinéma s'il avait suivi l'actualité des sorites. A part une affiche d'Alvin et Chimpmucks aperçue sur un bus, il ne savait guère ce qu'il passait en ce moment...
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Lena Bennett
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MessageSujet: Re: " The end justifies the means " - Scott Potter   " The end justifies the means " - Scott Potter EmptyMer 21 Déc - 12:22

  • En général, c'est quand on dit cela que les ennuis arrivent. Ca porte malheur en quelque sortes, mon oncle t'aurait rouspété après pour moins que ça, mais il faut avouer qu'il était vieille école.

    Tournant le dos à l’orée de la forêt, mon visage prit une expression des plus ironiques. Il ne croyait pas si bien dire… Adrian se donnait la peine de me faire la conversation, ajoutant cette anecdote familiale et une allusion on ne peut plus humaine sur les conditions climatiques. J’acquiesçai, bien que je n’avais que faire de la neige ou du mauvais temps, puisque je ne souffrais pas du froid. Il était poli, rien de plus, et je sentais bien, dans son ton et son attitude, qu’il aurait préféré avoir un autre co-équipier pour effectuer cette ronde de plusieurs heures, n’importe qui d’autre, même. Sa méfiance en ma présence ne passait pas inaperçue, et quelques-uns de mes collègues m’avaient déjà questionné à ce sujet. Peut-être même était-elle communicative… Quoi qu’il en soit, il était capital que je mette fin à cela : les Hommes ont tous en eux ce mimétisme qui les pousse à croire à ce qu’ils perçoivent et ressentent chez les autres, ainsi qu’à ce qu’ils voient faire et entendent dire, comme des moutons de Panurge. Après tout, j’avais réussi à duper les plus haut placés des Orions, alors pourquoi pas cet homme là ?
    Jusqu’ici, tout se déroulait exactement comme prévu. Déjà, je pu sentir dans mon dos la présence de mon associer secret. Il avait cette démarche fluide et silencieuse qu’on tout les vampires, celle-là même que j’avais du contrôler et ensuite réprimer pour paraître plus humaine, mais cela ne m’empêchait pas de l’entendre s’approcher. Il m’était difficile de mettre ma fierté de côté et d’éviter tout mouvement de défense, mais il était nécessaire que je laisse mes capacités vampiriques de côté pour réagir comme n’importe lequel des Orions. Suite à un échange de sourires entendus, un combat qui n’en était pas vraiment un débuta : de ses gestes souples, il m’asséna plusieurs coups à la poitrine et aux jambes, jusqu’à me propulser contre le tronc d’un des arbres les plus massifs aux alentours. Une des mes côtes se brisa, tandis que ma chute sur une branche déchira le bas de mon pantalon et m’ouvrit la jambe de la cheville jusqu'au dessous du genou. Cette entaille de plusieurs centimètres était parfaite.

  • Adrian ! Hurlai-je, usant de toutes mes capacités dramatiques pour paraître dans une grande détresse.

    Je saisi alors, à l’intérieur de ma veste, une petite fiole de verveine, juste ce qu’il fallait pour mettre plus de temps à ma chaire pour se refermer et cicatriser, et à ma côte de guérir qu’il ne le fallait habituellement pour un vampire. Ce véritable poison rendrait mon temps de guérison aussi long que n’importe lequel des êtres humains normaux. Je vidai la moitié sur ma jambe, réprimant une grimace de douleur, et en bu l’autre moitié. Le gout était atroce et eu sur mon oesophage un effet presque plus dévastateur que sur mon mollet, qui me semblait quasiment en train de bruler. Cette sensation me rappelait vaguement le jour de ma transformation, où tout mon corps m’avait parut en feu, et où, dans la mort et le silence, j’avais subit la pire des douleurs. Ce souvenir, encore très clair dans mon esprit malgré mes efforts pour m’en débarrasser, m’aida à reproduire les mêmes sentiments de panique et à la fois de rage que j’avais ressenti de nombreuses années auparavant. Je poussai un nouveau cri tout en lançant la fiole au loin. Les pas précipités d’Adrian se faisant plus proches, je me relevai, face à mon adversaire, avec cette lenteur désolante qu’on les mouvements humains. Celui-ci me plaqua contre ce même tronc contre lequel il m’avait propulsé et planta alors ses crocs dans mon épaule. Je subissais là bien plus qu’une douleur déchirante, mais une réelle humiliation. J’étais relayée au statut de proie tandis que l’autre vampire aspirait avidement mon sang, ou plutôt celui de mes dernières victimes qui, modifié par mon organisme pour apporter plus de puissance à tout mon corps, devenait bien plus délicieux à déguster, presque comme si on se nourrissait de plusieurs humains robustes à la fois. Retenant de toutes mes forces la transformation de mon visage où mes canines aiguisée, prêtes à se défendre, allait surgir, je me concentrai sur un autre souvenir pénible : la pensée que ma sœur, bien plus fragile et vulnérable que moi, avait vécu toutes ses souffrances et en était morte. Plusieurs larmes coulèrent sur ma joue tuméfiée, recouverte d’un énorme coup bleu et d’une petite entaille. Ces gouttes salées n’arrangeaient rien à ces blessures, et je songeais un instant que je devais avoir l’air des plus pitoyables lorsqu’Adrian surgit face à moi.
    Mon plan fonctionnait à merveille.
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MessageSujet: Re: " The end justifies the means " - Scott Potter   " The end justifies the means " - Scott Potter EmptyVen 23 Déc - 10:48

Scott était le genre de personne à se laisser gagner malgrè elle par la superstition. Aussi, dès lors qu'elle eut dit ce qu'il ne fallait pas dire, il se tint sur ses gardes en redoublant d'efforts. C'est un état assez étrange que celui-ci : tous vos sens sont en alerte et vous percevez des choses qui vous sont cachées en temps normal. Il entendait des rongeurs se faufiler dans le noir des ruelles. Le vent qui soufflait était d'Ouest, ce qui expliquait qu'il soit chargé par quelques relans salés et iodés ; il venait de l'océan. Un nid d'oiseau était installé sur leur droite, à quelques mètres de hauteur et il y avait au moins trois oisillons qui y criaient famine. A la troisième fenêtre du bâtiment en face d'eux, au second étage, un couple faisait l'amour en ayant oublié de fermer le volet. Il s'agissait de deux femmes.
Oui, quand on est en état d'alerte, on perçoit beaucoup de choses, mais personne n'est infaillible et somme toute Scott Adrian restait humain, avec les sens qui allaient avec. C'est pourquoi, il ne put rien faire quand un vampire déboula sur Lena et la projeta contre un arbre. Il bondit aussitôt, et courut le plus rapidement possible les mètres qui les séparaient en percevant son cri de détresse. L'instant d'après, il sautait sur le vampire, et il manqua de très peu le coeur (il était toujours surpris de penser que ces créatures en avaient). Il arracha son pieu de la chaire mais n'eut pas le temps pour un deuxièmme essai puisque le vampire le repoussa sans ménagement.
Il tomba à plat dos sur la route et se cogna l'arrière du crâne. Un instant sonné, il se força néanmoins à se relever aussitôt et constat avec horreur que la créature était revenue sur Lena. Sans réfléchir, il retourna à l'attaque. Cette fois-ci, il fit mouche, comme le vampire avait son attention détournée par le sang qu'il buvait. Il perça droit dans le coeur et sentit l'organe céder sous le tranchant du bois. Avec un sourire de satisfaction qui ne dura que quelques secondes, Adrian repoussa le cadavre qui ne bougerait plus jamais et se pencha sur Lena. Il ne l'avait pas loupé...

_ Lena ? Tu m'entends ? Regarde-moi... ordonna-t-il doucement, laissant ses réflexes de secouristes prendre le dessus cette fois. Attends, laisse-moi t'examiner.

Avec une douceur infinie qui contrastait avec les élans d'adrénaline qui continuaient de parcourir son corps, il saisit le menton de la jeune femme et lui fit tourner légèrement la tête de côté, pour mettre la blessure à la lumière. La plaie était profonde mais par chance le vampire avait, dans son excitation, manqué la carotide, sans quoi la jeune femme n'aurait pas eu la moindre chance. C'était étrange, Adrian ne l'avait vu qu'à une ou deux occasions, quand le vampire était trop jeune pour savoir ce qu'il faiait. Elle avait de la chance.
Prenant un mouchoir en tissu dans sa veste, il l'appliqua sur la plaie après s'être assuré qu'il était parfaitement prorpre.

_ Appuie dessus, murmura-t-il. Ca arrêtera le saignement. Ce n'est pas trop profond.

Il passa ensuite à la jambe et découvrit quelque chose d'étrange. La peau était ouverte mais l'os était en place. Cela n'avait pas de sens, il y aurait dû y avoir une fracture ouverte logiquement, à moins qu'elle ne ce soit simplement raccrochée à quelque chose, mais dans ce cas là aussi elle avait une chance incroyable... En tous les cas, ça les arrangeait bien, parce qu'il n'aurait rien pu faire pour une fracture ouverte. Il aurait dû appeler une ambulance et trouver une histoire crédible pour expliquer ses blessures. Palpant doucement la jambes, il constat qu'elle n'avait pas l'air cassée. Pour plus de précautions, néanmoins, il la conduirait à l'infirmerie d'Orion.

_ Tu as une veine incroyable, dit-il sans saisir son jeu de mot ironique et involontaire. Tu as mal quelque part ? Tu as perdu connaissance ? T u te souviens où on est ?

Il bilantait la patiente pour s'assurait qu'elle n'avait rien de grave. Il aurait été bien inconscient de la transporter sans s'assurer qu'elle ne faisait pas d'hemoragies internes ou qu'elle n'avait pas un trauma crânien important.
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