Alexander William Jackson
feat. Paul Wesley
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Alexander W. Jackson est né en
1976 à
San Francisco en Californie, et est donc âgé(e) de
35 ans réels. Cependant, physiquement, il/elle n'en parait que
26.
« Tu mets une petite citation par ici, si tu as envie... »
Alexander appartient à la race des Animorphes, et peut donc se transformer en un magnifique
Renard lorsqu'il le désire.
Alexander appartient d'ailleurs à la meute des
Renards. Dans la vie de tout les jours,
Alexander est
Technicien en informatique.
« ° Le plaisir est le vie, l’ennui est la mort ° »
Quoi de pire que de raconter sa vie? Non je vous jure… s’il faut en passé par là alors soit. Je ne suis pas d’une famille riche, d’une famille populaire… pour tout vous dire, j’étais un gamin des plus ordinaire dans une maison ordinaire sur une rue ordinaire dans une école ordinaire… D’accord, j’étais celui qui se faisait martyriser par les brutes à l’école, cela vous va? Désolé, je me suis emporté. Pour tout vous dire, je suis née, il y a de nombreuses années, dans les années 70. La vie n’était pas toujours un plaisir c’est pourquoi, aujourd’hui, je profite de la vie.
Mon enfance… ma mère était femme de chambre dans un hôtel et mon père était dans ses débuts dans l’ébénisterie. J’aimais le regarder. J’étais son apprentie… et j’étais fier de l’être. Ma mère s’occupait très peu de moi, elle avait toujours a faire entre son travail, la cuisine, le ménage, et j’en passe, elle n’avait pas beaucoup de temps à m’accorder. Mon père était là pour cela. Quand j’eus 12 ans, mon père nous a quittés. Mon père était tout pour moi, mon confident, ma référence et il n’était plus là. Nous ne savions pas quelle était la cause de la mort. À cet âge, je ne me posais pas la question, mais quand j’eus grandi c’était une tout autre affaire. Ma mère n’aimait pas que je l’a questionne puisqu’elle souffrait encore de la mort de son mari. Elle le vivait très mal et je crois bien qu’elle me repoussait parce que j’avais la même tête que mon père, la même ambition. Alors, puisque je ne pouvais pas avoir de soutien, je me recroquevillais sur mon ordinateur. J’étais devenu un l’as des as pour tout ce qui était l’informatique. J’étais le roi et j’avais un don selon certains.
Mon adolescence ne fut pas… comment dire… irréprochable. J’ai continué dans le domaine de l’informatique pour aller suivre un cours à l’université. C’est là que j’ai fait une rencontre d’un gars un peu louche qui me demandait des services. C’était pas trop « réglo » en faîte. Je sécurisais des endroits pour les opérations secrètes. Je ne savais pas ce que je faisais, j’étais trop jeune pour m’en rendre compte que cela ne faisait que noircir mon dossier… on ne se faisait jamais prendre puisque c’était à moi de le faire. Une alarme de domicile est aussi facile à trafiquer pour moi qu’un pot de cornichon à ouvrir pour vous.
J’eus mon diplôme à 22 ans et je fus tout de suite engagé dans un centre informatique de ma région où j’avais emménagé dans un petit logement piteux. J’avais des projets et c’était l’économie. Je me faisais pas mal de « pognon » quand les gars louches m’appelaient pour leur travail de piratage informatique ou de sécurité de l’équipe. Moi, je m’y plaisais. Il était impossible qu’on me repère, j’étais soit dans un camion hors du danger ou dans le sous-sol de l’édifice.
Tout allait bien jusqu'à tant qu’on se fasse coincer. Les autorités nous ont tendu un piège. Je fis tout mon possible pour sortir les gars de là, mais je n’y arrivais pas… je pris donc mes jambes à mon cou en prenant tout mon matériel et prit la sortie la plus proche. Dehors… j’entendais des cries. Je peux dure que j’avais la trouille de ma vie. J’étais majeur donc je pouvais aller en prison. Je n’avais pourtant jamais vu cette possibilité avant… le danger. C’était existant, mais pas maintenant. Il était une vingtaine et nous on n’était qu’une poigné d’hommes.
« Jackson! Jackson, t’es où ? »
« Je suis là, qu’est-ce qui a ? »
« Les flics sont là, ils ont eu James. Tu nous avais assurés qu’il n’y avait personne! Que tout était ok! »
« Ils sont là ! » criait un policier en nous pointant. « Plus un geste. »
« C’est chacun pour soi, Jackson » disait-il en me poussant pour me déstabiliser.
Je courus dans une autre direction. Le truc avec ses types c’est qu’ils sont soudés lorsqu’il n’y a pas de danger, mais que lorsque les flics sont là c’est tout autre chose. Je courus le plus vite que je pouvais. Je les semais peu à peu. J’aurais pu être athlète pour la course. J’étais en forme physiquement et les policiers s’éloignaient peu à peu. Je bifurquais dans une ruelle mal éclairée et puis dans un autre et je me cachais derrière des poubelles pour respirer un peu. Pour tout vous dire, cela faisait longtemps que je n’avais pas une trouille pareille. Je commençais à avoir des sueurs intenses et je tremblais. Un mal de crâne terrible venait de me prendre. C’était très douloureux. Ce n’était pas normal. Je savais qu’il y avait quelque chose qui clochait. Je respirais tranquillement, mais… ce fut à ce moment que je vis que je n’étais pas un simple humain… Quand le mal finit, je me regardais dans une flaque d’eau dans la ruelle. J’étais… ce n’était pas possible… vous allez me prendre pour un fou, je vous le jure… j’avais la tête d’un renard, mais en plus gros… je me suis demandé si j’étais en train de rêver. J’entendais un policier venir dans cette ruelle. Même si c’était un rêve, je ne voulais pas courir de risque. Je me cachais entre des planches de bois en prenant la poignée de mon sac entre mes crocs et le tira contre moi pour le cacher dans les débris.
« On l’a perdu. »
« On a eu les autres, c’est au moins ça. »
« Envoie une patrouille pour surveiller le quartier, il n’est pas loin. »
Après ce jour, je me suis juré d’arrêter le piratage. Je m’étais mis dans une sacrée galère. Rien que d’y penser j’en ai encore des frissons. Lorsque je rentrais chez moi, je fis mon sac et parti. J’avais asse d’économie pour prendre l’avion. Je ne vous l’ai pas dit, mais ça paye les trucs « non réglo » ! Je décidais de partir. Mon sac était fait, j’étais près à partir, lorsqu’on frappa à ma porte.
« Je sais que t’ai là, ouvre-moi. » s’était la voix de mon oncle, le frère de mon père.
« Qu’est-ce que tu fais là ? »
« Il fallait que je te vois avant que tu partes. »
Je ne comprenais rien à rien. Comment il savait?
« Écoute, nous n’avons pas beaucoup de temps. Suis-moi. Il est temps que tu saches qui tu es… Et… qui nous sommes. »
Je le suivais, c’était là qu’il m’avouait qu’il me surveillait depuis pas mal de temps. Il m’avouait qu’il était comme moi. J’étais donc un animorphe-renard. Il me disait des tas de choses que je ne comprenais pas tout, mais que je l’écoutais tout de même. Mon oncle me disait que je devais me cacher mieux et d’arrêter de faire des folies. Que je le comprenais! Il me donna le nom d’une ville où je devais l’attendre: Everstown... L'attendre ... il n'est jamais venu. Alors, je suis partit dans une autre ville plus petite où personne ne pourrait me trouver. J'y restais pendant quelques années m'apercevant que tous commençait me connaître... quelque chose me manquait... je vivais avec l'animal en moi, mais il était difficile de le garder hors de vue. C'était maintenant une nécessité de le faire sortir de temps en temps pour mon mieux être...
Les années passèrent et je restais toujours aussi jeune. Je décidais de changer à nouveau de ville au malheur des gens qui s'était habituer à mon don pour l'informatique. J'étais retourner à Everstown. C’était un endroit assez tranquille pour le moment. Je réussis à me dégoter un emploi bien payé et un logement pas trop cher en ville. Maintenant que vous savez tous, j’espère que vous allez garder cette information pour vous!
Je suis assez beau gosse… grand, mesurant 6 pieds environ. J’ai les cheveux brun foncé court. Mes yeux sont bleu foncé. Je suis assez générale côté vêtement, un jean, chandail classique, veste lorsque je vais quelque part. Je suis la mode d’Alaxander.
Animorphe renard : Lorsque je me transforme, le taille du renard à la taille d’un gros chien. Je suis un renard roux pure souche. Bouts de pattes noires, sous mon corps, une douce fourrure blanche et le roux recouvrent le reste de mon corps. Une queue assez touffue rousse.
Je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds ça il en a aucunement question. Je suis une personne très rancunière, si je vous rends un service alors noter le quelque part, parce que je vais venir vous cherchez pour une faveur. Je suis un peu impatient surtout lorsque j’attends en file ou quelque chose comme ça. Je suis organisé dans mes paperasses sur mon bureau de travail. J’aime avoir un plan de travail en ordre pour m’y retrouver. Je suis un as de l’informatique donc quand j’ai un problème à régler dans la vraie vie ou dans mon travail, je ne lâche pas l’affaire tant et aussi longtemps que je n’ai pas trouvé le problème. Je ne suis pas un lâcheur. Sous mes yeux charmeurs, j’ai de la difficulté à m’affirmer avec les femmes. N’aller par croire que c’est un gros handicap frappant, c’est pas si terrible. Vous avez voulu savoir mon caractère en tant qu’homme, je vous le donne.
« Tout ce que vous ne pouvez pas voir »
Incidences Humaines :° Alexander est très difficile à berner. Il peut détecter ceux qui lui cache la vérité et ainsi vous faire croire n’importe quoi. Pour lui, c’est un jeu d’enfant.
° La seconde chose que le renard lui apporte n’est pas nécessairement bien. Il a un odorat surdéveloppés ce qui l’écœure. Il s’éloigne des odeurs fortes qui pourrait lui donné des nausées affreuses.
Derrière l'écran
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J'me présente, je m'appelle
Jessica, j'ai
23 ans et j'habite en
Canada/Québec. Comme vous l'aurez compris en lisant mon pseudo, je suis
UNE FILLE ! J'ai découvert Across
depuis fort longtemps =) plus connu sous le nom de Kristina W. et depuis, ma vie a changé ! *O* Au fait, le personnage que j'ai choisi d'incarner est un
INVENTÉ. Comme je suis quelqu'un de cool, j'ai forcement lu le règlement, et j'ai trouvé le code qui est:
Ok by Kath'. Pour terminer, le mot de la fin sera:
. Merci de m'avoir lu !