Across™ - RPG
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez | 
 

 Elijah Kenneth Stark – Sorry for party rocking ♫ IT'S OVER BABE

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Anonymous
« Les apparences . . . »
Invité

Elijah Kenneth Stark – Sorry for party rocking ♫ IT'S OVER BABE Vide
MessageSujet: Elijah Kenneth Stark – Sorry for party rocking ♫ IT'S OVER BABE   Elijah Kenneth Stark – Sorry for party rocking ♫ IT'S OVER BABE EmptyJeu 23 Fév - 17:36

Elijah Kenneth Stark
feat. Robert Downey Jr.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]


Elijah K. Stark est né en 1970 à Londres, et est donc âgé(e) de 42 ans réels. Cependant, physiquement, il n'en parait que 36.

« I think life changes every year. This is just a little more comfortable. »

Elijah appartient à la race des Lycans, et a été contaminé il y a 12 ans, lorsqu'il était âgé(e) de 30 ans. Dans la vie de tout les jours, Elijah est Professeur de psychologie à l'Université.


« Je me suis toujours senti comme un outsider dans le milieu. Sans doute parce que je suis totalement malade. »

Mon histoire ? Comme si ça vous intéressait vraiment ! Bon, puisqu’il faut bien y passer, je ferai court. Je suis né il y a 42 ans, dans une banlieue plutôt chicos de Londres. Autant être honnête : je suis né avec ce qu’on peut appeler une cuillère en argent dans la bouche. Bien que déjà j’aurai certainement préféré que ce fut un bon cigare cubain.

Mon enfance n’a pas grande importance. Père jamais très présent ou quand il l’était, jamais satisfait de grand-chose. Que ca soit de moi ou de ma mère d’ailleurs. Mais passons. Pour le peu qu’on le voyait, on s’estimait déjà heureux qu’il nous remarque et porte un jugement sur nos actes, nos paroles. Mon père, c’était une sorte de Dieu. A la fois craint et adoré.

Ma mère était sa plus fidèle servante. A genoux pour la moindre de ses exigences, il était littéralement tout pour elle. La réciproque n’était pas vraie, si vous voulez mon avis. Elle ou une autre, mon père s’en moquait bien. D’ailleurs, en y repensant, ça ne m’aurait pas surpris d’apprendre qu’il avait des maitresses. C’était un homme de pouvoir, et qui dit pouvoir dit femme. Les deux vont de pair, il faut croire.

Bref, assez parlé d’eux. Revenons à moi. Mon enfance et mon adolescence se sont passées sans heurt majeur. J’étais heureux, je crois. J’ai fréquenté les meilleures écoles privé, et ai obtenu mon diplôme « sans me fouler la rate », comme disait ma mère. Tant mieux : je me suis toujours dit qu’une entorse de la rate devait être douloureux… Ahem.

Après le lycée, mes parents ont décidé que j’étudierai la psychologie, afin de devenir un grand Psychiatre. Ouais, à l’époque les parents avaient encore un fort pouvoir de décision sur l’avenir de leurs enfants. A fortiori lorsque ceux-ci nageaient dans l’argent ; le chantage était alors tout trouvé : « Tu fais psycho, ou on te coupe les vivre et tu iras dormir sous les ponts ! » C’est bien triste à dire, mais déjà à l'poque j’aimais le confort d’un bon lit et d’un verre de Whisky de 15 ans d'âge : il y a des plaisirs simples auxquels je ne résiste pas... J’ai donc tout naturellement dit « amen » aux volontés de mes parents… avant de leur dire « merde » cinq ans plus tard, avec mon diplôme en poche.

1993 fut l’année de ma libération. Diplômé (et major de ma promo, qui plus est !) et prêt à entrer dans la vie active, je n’avais plus rien à attendre d’eux. Moi qui avais toujours été un peu associable, j’avais finalement pris gout à la psycho. Etudier le comportement humain s’était révélé fascinant. Je décidais alors d’exercer en tant que psychanalyste. Il me fallu un certain nombre d’année pour réaliser que je n’étais absolument pas dans mon élément. Compatir à la peine des gens, trouver des solutions à leurs petits malheurs m’agaçait prodigieusement. Tellement que je ne pouvais souvent pas m’empêcher de leur dire le fond de ma pensé. Et allez comprendre pourquoi, ca ne leur plaisait pas vraiment...!

Quatre longues années plus tard, je décidais donc de me tourner vers l’enseignement. Non pas que je me sente d’avantage la fibre pédagogique, mais la perspective de me retrouver devant une classe me rendais euphorique (et avec un diplôme de Psychologique, quel autre choix avais-je, de toute façon ?). Tellement euphorique que mes premiers cours étaient de véritables représentations théâtrales ! Les étudiants adoraient, et en redemandaient, mais malheureusement, tout le monde n’était pas aussi enthousiaste. Les collègues notamment jasaient beaucoup. Non pas que je m’en sois soucié un seul instant, mais cela nuisait profondément à ma réputation, et surtout, pouvait remonter jusqu’aux oreilles de l’administration.

Je décidais donc de prendre les choses en main, et d’aller mettre les barres sur les « t » avec mon principal détracteur. C’était un jeune homme d’une trentaine d’année, les yeux souvent cernés mais qui arborait toujours un petit rictus qui m’agaçait infiniment.

Je m’en souviendrai toujours. C’est un soir de février que je décidais d’aller lui expliquer ma façon de penser. Son domicile n’était qu’à quelques pâtés de maison de mon appartement, je m’y rendais à pied. Il était dix-sept heures et la nuit était déjà tombée sur Londres. Un petit vent glacial soufflait et transperçait mon manteau. Un instant, je crus percevoir un bruit de pas, à proximité, alors que la rue était pourtant déserte. Je pressais de pas et glissais la main dans ma poche gauche, celle où se trouvait toujours mon TomCat, petit pistolet dont j’avais fait l’acquisition quelques années plus tôt, et qui à mon grand regret, n’avait jamais pu faire ses preuves, faute de situation appropriée. Je priais pour que cette fois en soit une. Je n’avais pas idée…

La suite de mes souvenirs de cette soirée restent flous. Je me souviens avoir frappé à la porte de cet idiot de prof, ne pas avoir obtenu de réponse. Mécontent, il me semble avoir rebroussé chemin, je ne suis plus très sûr.

Tout ce dont je suis certain, c’est de m’être réveillé le lendemain après-midi avec la pire gueule de bois de ma vie. Pour couronner le tout, mon corps était parsemé de plusieurs hématomes, plus ou moins importants. Des sortes de griffures, ou de morsures, étaient également visibles, au niveau de mon cou et de mon dos. Bêtement, je pensais que la fille avec laquelle j’avais passé la nuit (ça arrivait assez souvent) n’y avait pas été de main morte !

La vérité n’allait m’apparaitre que quelques semaines plus tard… Bien sur, je connaissais la réalité des Vampires et des Lycans. Comment l’ignorer, de toute façon ? Mais de là à m’imaginer un jour croiser la route d’une de ces créatures, il n’y avait qu’un pas que je n’étais pas encore prêt à franchir ! On avait beau en entendre parler souvent, rares étaient les personnes qui avaient déjà eu la chance (ou la malchance, c’est à voir) de croiser la route d’une de ces créatures. La plupart de fondaient dans la masse, souhaitant ne pas vivre différemment de nous, les humains.

Mon comportement se mis progressivement à changer. Pour parler objectivement, c’est vrai qu’à la base, je n’étais déjà pas un modèle de vertu et de qualités. Ce qui était en train de m’arriver n’arrangea simplement pas les choses… Je devenais taciturne, agressif sans m’en rendre compte. La moindre contrariété déclenchait chez moi des colères monstres (et c’est le cas de le dire !). J’étais sujet à de forts tremblements et parfois même, j’étais au bord de l’évanouissement.

Ce n’est qu’après ma première transformation que j’ai compris ce qui était en train de m’arriver. Ais-je besoin de vous dire au combien elle fut douloureuse, tant physiquement que psychologiquement ? Je ne pense pas. Après cet épisode, ma vie… n’a pas vraiment changé. Bon, c’est vrai, au début, j’étais un peu perturbé. J’ai eu cette phase classique de « Je suis un monstre, que vais-je faire ? » mais elle n’a pas duré bien longtemps. Alcool aidant, j’ai réussi à passer le cap. Ma vie finit par reprendre son cours normal, à ceci près que les soirs de pleine Lune, je préférais me terrer dans mon sous-sol, enchainé. C’était mieux ainsi.

Les cours à la Fac avaient repris. Je reprenais gout à mon métier. Mes cours étaient toujours aussi entrainants, motivants. Les étudiants affluaient, et c’était pour moi la plus belle des réussites. C’est pendant un de ces cours, bien des années plus tard, que j’ai croisé pour la première fois son regard. A la fois fasciné et intrigué, elle me fixait de ses grands yeux bleus. Avec le recul, je sais que déjà à cet instant, j’étais complètement sous le charme. Mais ma fierté était la plus forte.
Le premier pas, c’est elle qui le fit, à ma plus grande surprise. Je la revois encore descendre les marches de l’amphithéâtre, se dirigeant vers moi. Et moi, je faisais mine de ne rien voir, de ranger mes notes, pressé de partir.

- Mlle Williams, dis-je de ma voix la plus assurée, que puis-je faire pour vous ?

- M’inviter à boire un café ? répondit-elle le plus naturellement du monde.

J’étais quelque peu surpris. Je ne m’attendais en aucun cas à cette réponse. Elle du s’en apercevoir, car elle s’empressa d’ajouter :

- Afin que nous discutions de votre cours, bien sur ; il y a certains concepts qui me semblent flous, et j’aurai aimé en discuter avec vous, si vous en avez le temps.

J’ai accepté, bien sur ! Ce café fut le premier d’une longue série. Puis les cafés se prolongèrent en diner, parfois en déjeunés. Malgré l’écart d’âge que nous avions, Nina et moi étions sur la même longueur d’onde. Nous étions réellement devenus amis, et cela malgré mon caractère « original » (c’est un euphémisme) et mes fuites, les nuits de pleine lune.

C’est un soir que tout a basculé. Jour férié, tous les restaurants étaient fermés. J’invitais donc Nina à mon appartement, afin de ne pas écourter la soirée. Je savais que nous n’aurions pas du ouvrir cette deuxième bouteille de vin… Une main qui frôle l'autre, un regard un peu trop prolongé et c'est l'engrenage fatal.

Tout aurait pu se passer autrement. J’aurai pu ravaler ma fierté, lui dire que je ne regrettais rien, qu’elle était la plus belle chose qui m’était arrivé depuis longtemps. Mais non. J’ai fait tout l’inverse. J’ai prétendu que nous avions fait une énorme erreur. Que nous n’étions que des amis, et que jamais au grand jamais je n’avais envisagé que les choses aillent plus loin entre nous. Typique. L’engagement, ca fait forcement très peur, surtout lorsque comme moi, vous n’y êtes pas habitué.

Elle prit les choses avec énormément de classe, n’a pas cherché à me retenir. Et puis elle est partie. Et moi aussi d’ailleurs. Excessif, comme à mon habitude, je décidais qu’il était temps de quitter Londres. Sans même lui dire au revoir, je quittais la capitale pour Everstown, deuxième plus grande ville d’Angleterre.

C’est là que je vis depuis maintenant 6 ans. Et pas une journée ne s’écoule sans que je ne pense à elle. Bien sur, entre temps j’ai multiplié les aventures, pensant pouvoir l’oublier, comme si elle n’avait jamais existé. Je me leurrais.

Aujourd’hui, je me dis que c’est pour le mieux. Imaginez la vie qu’elle aurait eue, avec moi et mon sal caractère. Mes transformations incessantes et mon manque de maturité. Non, ca n’aurait jamais marché… N’est ce pas ?


« Tout ce que vous ne pouvez pas voir »

Autre : Insolent et taciturne, Elijah est incapable de se fondre dans la norme. Un brin excentrique, il refuse de se plier aux conventions et agit comme bon lui semble, sans se soucier des autres.
Il a un fils dont il ignore totalement l'existence.

Derrière l'écran

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
J'me présente, je m'appelle Ode, j'ai 20 ans bientot et j'habite à la Réunion. Comme vous l'aurez compris en lisant mon pseudo, je suis une fille ! J'ai découvert Across ™️ parce que c'est moi qui l'ai créé, na ! et depuis, ma vie a changé ! *O* Au fait, le personnage que j'ai choisi d'incarner est un inventé. Comme je suis quelqu'un de cool, j'ai forcement lu le règlement, et j'ai trouvé le code qui est: "OK by Elijah". Pour terminer, le mot de la fin sera: Cacahuète. Merci de m'avoir lu ! :pc:
Revenir en haut Aller en bas
 

Elijah Kenneth Stark – Sorry for party rocking ♫ IT'S OVER BABE

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Do you believe in fate ? I don't. | Elizabeth W. & Kenneth K.
» « For sure, there will be blood, babe » ▬ Version n°6
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Across™ - RPG :: All good things come to an end... :: Corbeille :: Archives :: Saison 1 :: C'est ici que ce trouvent les valises des anciens-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit
Forum Gratuit